je deteste le dimanche soir depuis ma tendre enfance
souvenirs d'ennui, de temps en suspend, l'angoisse du lundi
cependant ce soir j'ai hâte d'être à demain, que ce WE finisse
je n'aime aucune journée de la semaine en particulier
j'ai mon rv chez ma psy et je pense que j'aurai beaucoup de choses à lui dire.
lui reveler le retour de mes envies suicidaires sera de nouveau un frein à ma guérison.
maladie difficile à comprendre pour tout mon entourage: la depression sévère est fourbe et complexe. Malgré les traitements anti-depresseurs et le suivi psychiatrique, la melancolie, la dévalorisation, les idées noires, la fatigue, la perte d'appétit etc peuvent ressurgir au moindre coup dur, trahison, deuil, echec, traumatisme....
Généralement les amis fuient, d'autres en profitent et nous manipulent, voire nous maltraitent... La paranoïa est aussi un de nos défauts parfois. Parfois nous sommes en détresse et en grand besoin d'attention que personne ne nous donne.
je dois vivre avec cette maladie en plus d'une autre, gerer mes conflits familiaux et m'occuper de mes filles. Ce n'est pas facile tous les jours. aujourd'hui je reçois l'aide de mes parents, surtout ma mère, un dévouement incroyable.
cependant il me manquera toujours une amour, même si je sais que maintenant je ne retrouverai plus jamais cette sensation. encore un deuil à gerer.
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RépondreSupprimerCe post est antérieur à l'actualité, et celle là si j'en juge les derniers posts augurent un plus bel avenir en sentiments, s'ils s'avèrent qu'ils sont solides et réels, ils seront parmi les meilleurs médicament contre votre mal dont vous pourrez disposer...Ce mal dont vous parlez je le connais car j'en ai souffert moi même, se désir d'abandon à la vie qui vous appelle parfois comme vous l'avez à plusieurs reprises écrit dans vos articles je les connais aussi, la trahison des sentiments et le mensonge, faire le profit de l'être aimé, plutôt qu'aimer avec toute la sincérité que cela induit, se servir de la confiance comme d'une arme de soumission de l'autre comme si c'était un dû sans condition et non un mérite indu, font que les petits aléas de la vie deviennent vite d'horribles obstacles insurmontables...
La vie devient une souffrance telle lorsque l'on devient la proie de la dépression , ce mal sournois, lorsqu'il prend, fait fléchir les genoux les plus forts, aucun être au monde ne peut se vanter d'être assez fort pour dire qu'il n'est pas atteint...La perte de sommeil, l'alternance répétée de repos épisodique à toute heure du jour et des nuit quasi blanches ,d'angoisse, à répétitions, s'épuiser dans des activités annexes pour oublier sans que rien ne passe vraiment, la tête lourde comme si elle pesait une tonne, une douleur qui vous vrille les tempes comme si elles étaient prisent dans un étau que l'on resserre lentement tout au long de la journée, ce froid glacé qui s'installe dans votre boite crânienne, les pertes d'équilibre passager lorsque vous marchez dans la rue, la peur qui vous étreint à n'importe quel bruit...
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RépondreSupprimerN'en voulez pas à vos amis ou vos proches qui vous fuient, ce mal est comme la joie de vivre, c'est un mal contagieux...Seuls ceux qui ont vécu le même mal que vous peuvent vous comprendre vraiment, et parmi eux tous ne sont pas prêt à vous approcher car c'est un mal que l'on surmonte mais je ne crois pas que l'on guéri totalement même si je crois que moi j'en ai guéri...Ma foi ma guéri, les médicaments ne guérissent pas, ils endorment, c'est une illusion je pense, ceux que je côtoient et qui en dépandent ne vivent pas, ils sont morts à l'intérieur, ils ont besoin de rennaitre pour vivre...L'homme blessé que j'étais à du rennaitre pour vivre de nouveau, et pour cela il faut essayer de pardonner, si le pardon est trop grand pour nos capacitées humaines, il faut s'en remettre à dieu, et pardonner à dieu, lui remettre la faute subie afin d'en être délivrée, car en garder la rancune c'est laisser son souvenir s'installer en vous comme une grosse racine d'amerthume qui ne feras jamais que grandir, et vous ronger de l'intérieur...Cela est toujours plus facile de parler pour les autre plutôt que pour sois même, mais c'est une vérité, le salut se trouve dans le pardon...
La violence est une souffrance, autant pour celui qui la subit, que pour celui qui la donne, celle qui vous à été faite et qui vous a partiellement détruite intérieurement, espérons le, temporairement, à en lire les maux dans sa lettre vous étant adressée, est surement née d'une autre violence, peut être, sans doute non consommée, qui elle même venait peut être d'une autre et se répercute encore et encore...
Votre mère, votre oncle, votre famille à l'air d'être victime du mauvais sort qui s'abat, brisez ce cercle vicieux, offrez le pardon en sacrifice sur l'autel de l'espoir, pour un avenir meilleur, pour des jours nouveaux et radieux...
La vérité, l'unique vérité dans sa globalité, sa quintessence pure, est trop complexe pour notre condition humaine d'en percevoir la compréhension, nous sommes trop inférieur pour la concevoir seulement, mais dieu est là, même si nous oublions de l'appeler de nos voeux ou si nous restons rebelle à son amour, il nous aide, car il n'abandonne aucun d'entre nous au trouble...Reconnaissez vous dans sa passion, et revenez pleinement à la vie...
merci pour ce long com d'espoir :)
RépondreSupprimerDe rien, le but était de chasser tous vilains nuages sombres persistants et faire briller un long ciel ensoleillé...
RépondreSupprimerPar contre, mettant pourtant inscrit aux commentaire, je n'ai jamais reçu d'avis à vos réponse ce qui explique que les miennes arrivèrent toujours tardivement, j'espère que le quotidien s'améliore pour vous actuellement...
le quotidien n'est pas toujours aisé notamment dans les prises de decisions pour l'avenir qu'il soit proche ou non mais je garde le sourire, merci encore!
RépondreSupprimerje ne sais pas comment faire pour activer un avis aux repo,ses lol