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Toujours Douglas Kennedy, inconditionnelle fan, j'adore son style, ses sujets, ses protagonistes, il sait transmettre les émotions avec une aisance et une légèreté que nous lisons comme si nous regardions un film. cette fois c'est : l'homme qui voulait vivre sa vie.
=> Ben Bradford est un brillant avocat de Wall Street ; belle situation financière, il a de plus une femme ravissante et deux garçons dynamiques. Pourtant il est triste, déprimé et hypocondriaque, car, comme tout ne va pas toujours pour le mieux dans le plus "snob" des mondes, Beth, son épouse, a un amant. Un photographe de leur entourage. Un jour de dispute entre les deux hommes, Ben perd son sang-froid. "C'est là que j'ai craqué. Que je l'ai cogné. Avec la bouteille de cloudy-bay." Ben maquille alors le meurtre et usurpe l'identité de sa victime. En fuite, il atterrit dans un bled du fin fond des États-Unis où il devient photographe de presse. Que se passera-t-il ensuite ? La vie est pleine de surprises, heureusement. L'auteur l'a bien compris. Faites-lui confiance, vous ne serez pas déçus !


Puis je lis aussi un bouquin de pedospychiatrie car mes filles sont toujours aussi dures, leur passe-temps préféré étant de tester la patience et les les limites de leur maman adorée ainsi que ses capacité a absorber un maximum de décibels en un mimum de temps, à dire le plus de NON possible etc.
ce livre s'appelle Je t'aime donc je ne cèderai pas d'Etty Buzyn => Aussi émerveillé soit-on devant son enfant, il faut supporter ses bêtises, ses exigences, ses colères, ses manifestations d’opposition. S’engage alors une véritable épreuve de force : cet enfant joue sur l’amour dont il est l’objet pour braver tous les interdits, face à ses parents dont l’autorité est inhibée par l’angoisse de mal faire.
Pourquoi se retrouvent-ils si tôt pris dans une spirale de conflits? D’où vient cette crainte qui empêche les adultes d’affronter l’obstination de l’enfant? Auraient-ils peur de perdre son amour? Comment ramener la sérénité à la maison?
Loin d’être démissionnaires, les parents d’aujourd’hui doutent et cherchent sans relâche quelle position adopter. Avec la peur de ne pas savoir s’y prendre, ils s’interrogent sur leur rôle dans le peu de temps qu’il leur reste à consacrer à la famille. Etty Buzyn, psychanalyste, propose des pistes de réflexion pour aider les parents à reprendre confiance en leur capacité à éduquer leur enfant. Savoir faire face aux défis que ce dernier leur lance, c’est aussi lui donner une preuve d’amour.